« Faire de l’hémodialyse, c’est un engagement de trois journées complètes pour sa santé. Je veux que le reste de la semaine, le patient ait la meilleure qualité de vie possible. » -la Dre Deborah ZimmermanLorsqu’un patient de la Dre Deborah Zimmerman atteint d’une insuffisance rénale terminale commence l’hémodialyse, sa vie change du tout au tout : malade chez lui, il doit désormais se rendre à l’hôpital trois jours par semaine pour y recevoir son traitement. La Dre Zimmerman se demande si une approche plus progressive, soit commencer par deux visites par semaine seulement, chez certains patients dont la fonction rénale subsiste encore leur donnerait un peu plus de temps pour jouir de leurs activités régulières.
La recherche dans ce domaine étant minimale, la médecin codirige un essai clinique pour découvrir les avantages et les risques de cette approche. Elle tâche aussi d’évaluer l’information donnée au patient avant et après le début de son hémodialyse, afin de savoir s’il trouve cette information utile pour planifier ses soins d’insuffisance rénale terminale. De plus, elle dirige un essai clinique dans le but de déterminer si un programme d’exercice simple est réalisable pour ces patients et s’il pourrait améliorer leur qualité de vie.
La Dre Zimmerman a récemment été nommée scientifique au Programme d’épidémiologie clinique de l’Institut de recherche de l’Hôpital d’Ottawa. Néphrologue, elle est l’ancienne directrice médicale du programme d’hémodialyse à domicile de L’Hôpital d’Ottawa, directrice de la recherche clinique au Centre de recherche sur les maladies du rein et professeure à l’Université d’Ottawa.
« Faire de l’hémodialyse, c’est un engagement de trois journées complètes pour sa santé. Je veux que le reste de la semaine, le patient ait la meilleure qualité de vie possible. »
L’Hôpital d’Ottawa se démarque par ses soins, sa recherche et son enseignement comme hôpital universitaire fièrement affilié à l’Université d’Ottawa et soutenu par la Fondation de l’Hôpital d’Ottawa.